19 octobre 2020
La dématérialisation ne résoud pas tous les problèmes.
Il faut, à un moment ou un autre, entrer dans la réalité.
La dématérialisation ne résoud pas tous les problèmes.
Il faut, à un moment ou un autre, entrer dans la réalité.
Jacques, un ami de longue date, est venu nous rendre visite en Floride.
Quelques jours avant son arrivée, la météo était simplement exécrable.Un temps à ne même pas mettre une grenouille dehors.
Afin de préparer sa visite dans les meilleures conditions possibles, nous avons prévu un tour de Shopping dans les nouvelles boutiques à la mode.
Ils y proposent des produits miracles à base de CBD et THC.Manquant d’enthousiasme pour les produits dérivés du Cannabis, Jacques et son épouse sont venus s’informer sur les beautés de la Libre Entreprise.
Tous deux se sont laissés séduire et ont pris une participation active dans son développement.
Tout séduits qu’ils étaient, il leur restait à prendre la route pour prêcher la Bonne Parole.
C’est déterminés qu’il ont pris la route, prêts à convaincre les infidèles que nous, les pilotes certifiés train rentrant, hélice à pas variable et plus de 250CV, nous savons, et pas seulement de Marseille, tenir la tenir, la route.
Avec Jacques, nous avons fait un tour par aéro-club de la vallée du Loing.
Après avoir croisé les fantômes de certains membres de l’ACHC, nous avons découvert un avion qui a participé à la naissance de notre club.Vous, les anciens du club, sauriez-vous l’identifier ?
Dans tous les cas, le propriétaire nous a promis de nous rendre visite en 2020.
Bonsoir Tous,
Week-End de pur bonheur, et de grande fierté. En effet, notre aéroclub a la chance d’avoir 2 voltigeurs parmi ses membres, qui plus est, 2 champions d’exception sélectionnés pour les championnats du monde de voltige qui viennent de se dérouler à Châteauroux ces 10 derniers jours.
Pour sa 1ère participation en équipe de France et à des championnats internationaux, Florent ODDON s’est comporté en véritable champion :
– 4ème en Unlimited, à seulement quelques points de véritables cadors (voir résultats joints)
– Médaille d’or en FreeStyle
– Plus grand score à une épreuve (4137 points à la 4ème manche)
Coup de maître !
Quant à Mélanie ASTLES, une erreur de manipulation de sa radio l’a éliminé de la 3ème manche, ce qui la relègue à la 56ème place. Mais sans cette petite erreur, on peut voir sur les résultats joints qu’elle était dans les scores de Aude LEMORDANT qui a été sacrée championne du monde féminine. Quelle tristesse, quelle déception. Si près … !!!
En plaçant 8 pilotes parmi les 11 premiers, la France est largement sacrée championne du monde par équipe.
Et comme cerise sur le gâteau, cet après-midi vers 16h30, notre aérodrome a été salué par un passage à basse altitude avec fumigènes par 2 avions de l’équipe de France qui rentraient de Châteauroux sur Salon.
En tous cas, chapeau bas.
Jean-Luc
La vocation d’un aéro-club est de révéler des vocations.Modèles réduits et pré-ados ne font pas mauvais ménage et ce, d’autant plus que les belles démos auront été réalisées par un jeune de onze ans. Il passe un programme à faire pâlir d’envie un champion du monde.
Des avions superbes.
Et si ce Cri-Cri était un modèle Réduit, ce serait un Petit-Gros.
YAPA que l’aviation dans la vie, la bouffe aussi ça existe.
En ce 20 avril, le Nord, le vrai, s’est installé en Provence. Au menu Moules Frites, Merguez.Reste une question majeure : cette moule double est-elle le résultat d’une mutation due à Tchernobyl ou au réchauffement climatique.
Dans tous les cas,
– un grand bravo à Patrice pour le buffet, mené de main de Maître, qui aura rassasié les plus affamés,
– un autre grand bravo au club pour avoir ouvert ses portes à une forme d’activité aéronautique rarement trouvée sur les terrains.
Rendez-vous au club d’aviation pour un chaleureux repas.Bon, il faut en convenir, la photo n’est pas très nette. En revanche Susan prouve sa volonté d’intégration en France, en route pour la réunion, elle conduit la fameuse 2CV.
Une fois de plus, Florent et son épouse auront réussi à réunir les membres du club autour d’un repas festif.
Cours d’anglais aéronautique récupéré sur SNL (Saturday Night Live).
Ceux qui comprennent ont le droit de se poser à Glasgow,
les autres retournent en France sur 123.5 (Intl French only).
Pas de panique, je ne suis pas le seul à ne rien comprendre.
Soyez patients si la vidéo ne démarre pas instantanément.
Attention : création de deux nouvelles ZRT.
Pour les consulter, rendez-vous à la page Sécurité des Vols.
Jetez donc un coup d’oeil à la page suivante : Repas Club
Article copié depuis www.cech.fr. Il est à la disposition des membres du club pour mise à jour, modification…
Avant d’aller voir les zavions, gros et petits, il fallait bien se restaurer. Sitôt dit, sitôt fait, l’ex dabe aura trouvé l’estancot idoine pour permettre aux huit impétrants de se goinfrer.
Et oui, tout débute par des discours, même une exhibition d’avions en vol. Vous noterez le vif intérêt que portent au discours du général l’un des BIA primés et l’élite de l’escadrille d’accro.
Pour débuter l’envol, rien ne vaut la chute parfaitement contrôlée, elle, des paras.
Nous n’étions pas en terre inconnue, parmi les pilotes participants, notre club, l’ACHC, était fort bien représenté. Mélanie et Florent, vu plus haut, auront, une fois de plus, exposé leur indéniable talent. Enfin, remarquons que Mélanie est contrainte de pousser son avion, celui-ci n’étant pas équipé de l’option “Marche Arrière” pourtant si utile par ailleurs.
Serait-ce une démonstration d’interception par la patrouille qui traiterait ici une tentative d’intrusion par encadrement dans un espace aérien protégé ?
Que serait la La Patrouille de France sans ses fumigènes tricolores ?
Et comme nous sommes en France, voici présentée la toute nouvelle figure du Tire-Bouchon.
Enfin pour clore le diaporama, au moins en ce qui me concerne, un passage basse altitude du fameux décolle cérumen du conduit auditif par vibrations acoustiques, le Rafale.
Cela dit, en quittant le deuxième degré, une fort belle journée qui se sera déroulée sous un ciel radieux. Coup de bol car, pendant la nuit qui aura suivi cette belle présentation, la pluie qui avait été largement absente ces dernières semaines s’est invitée. Remercions la pour sa retenue pas si légendaire, sa venue après la bataille aura permis de belles prises de vue.
Pour ceux qui ne craignent pas de jongler avec les anciens Francs,
quand le Figaro coûtait 20 Francs,
que le kilo de bœuf s’affichait à 1000 Francs,
offrez vous un voyage qui se terminera vers fin des années cinquante.
Si vous qui êtes enregistrés sur le site du club,
faites donc un tour tout en bas du menu ACHC : Accès Membres,
dans la rubrique ACHC : Vidéo,
45 minutes de bonheur nostalgique avec Le Miracle des Ailes.
Et si vous n’avez pas ouvert un compte sur notre site, c’est le moment de le faire.
Pour créer un compte ou vous connecter, cliquer ici.
La sagesse populaire affirme qu’il ne faut pas être superstitieux : ça porte malheur.
J’ai donc suivi cet adage, j’ai volé en ce Vendredi 13.
Face à un déluge de ciel bleu, j’ai pris l’ultime décision de partager ce vol avec un ami marin, voileux à l’ancienne, la voile pas le moteur, pour lui faire envisager le trait de côte sous un autre angle.
Récupération du passager à Aix les Miles,
Sortie par La Ciotat WT
Après il suffit de se laisser porter par le contrôle aérien, fastoche.
Déjeuner comme d’hab à Candillargues.
Pour débuter la carte du vol. Avec mon jouet, compter un peu plus d’une heure.
Et comme ce marin sait aussi prendre de belles photos, je ne résiste pas au plaisir de les partager avec vous. Elles ne sont pas nécessairement dans un ordre logique, mais cela n’a aucune importance.
Riou
Le Petit Rhône
Les îles du Frioul
La Camargue
Figuerolles et côté baie La Ciotat
Le Bec de l’Aigle
Aïgues Mortes
Sur les chaleureuses recommandations d’un admirateur de LFNV qui réside à Vichy, Frieda et Franz décident de se poser chez nous. Coup de bol, en ce Dimanche deux péquins finissaient d’assurer une permanence sans l’avoir fait exprès.
Le Lodges de Richerenches affichant COMPLET, ne pouvant laisser nos deux Hollandais sans toit, c’est à Orange qu’ils se sont réfugiés. Et au Peperonchino de Barbara qu’ils se sont restaurés.
Pendant leur séjour à Orange, leur avionnette sans permis mais avec train rentrant a été hébergée dans le H1.
Sur mes recommandations, ils ont exprimé le désir de découvrir le Planeur de Barcelonnette. C’est en escadrille que nous sommes partis après avoir préparé le vol en salle pilotes.Pour ce vol aller Jean-Luc, en copilote expérimenté, aura assisté Franz.
De son côté Frieda aura volé avec moi.
Elle en aura tiré cette vidéo de l’approche vers la 27 de Barcelonnette.Un vol quasiment sans histoires si ce n’est à l’arrivée une mauvaise surprise, la roue gauche était à plat.
Tous se sont activés et, coup de bol, je disposais encore d’une chambre à air neuve ainsi que les outils nécessaires à cette réparation.
Les mines réjouies montrent qu’une fois de plus l’équipe du Planeur de Barcelonnette aura été à la hauteur. Nos deux nomades rejoindront la plateforme de Sainte Croix.
Avec Jean-Luc nous rentrerons par la Durance et une directe à partir de Cavaillon.
De retour de Sainte Croix, où ils ont passé, sous la tente, une nuit agitée pour cause d’orages, Frieda et Franz nous ont rendu une dernière visite avant de rentrer à Amsterdam.Départ dans un vent de 20-35kt, décollage ultra court, dès la mi-piste ils sont déjà hauts, train rentré, vol en direction de Mâcon où ils passeront la nuit avant de repartir pour une dernière étape et rejoindre leur base.
Une branche active de la famille organise dans les environs de Nantes une « Cousinade ». Pour m’y rendre trois solutions :
C’est cette dernière solution que j’ai choisie.
J’avais prévu un vol aller direct, enfin le plus direct possible, suivi par un vol retour en suivant le trait de côte. Seuls les imbéciles ne changeant pas d’avis, ce qui soit dit en passant a toujours été mon point de vue, j’ai inversé le plan de vol pour suivre le trait de côte à l’aller. Chemin faisant, après 2:15 de vol, un arrêt technique à Périgueux m’a permis de constater que les ULM sont exemptés de taxe d’atterrissage.
Ci-dessous la route suivie pour rejoindre LFFW, l’aéro-club de Montaigu.Pour le trait de côte, entrée par la Gironde puis l’île d’Oléron, l’île de Ré, les Sables d’Olonne, Beauvoir sur Mer et enfin Montaigu. A 1500 pieds, le panard.
Tout compris 4:30 de vol. J’espère vous faire un peu baver même si cela ne vaut pas la Corse.
Si trouver LFNV est un piège PPL, LFFW n’est pas mal non plus.
Longue vie aux systèmes GPS qui, s’ils sont bien utilisés, offrent aux pilotes un peu bleus la possibilité de ne pas perdre la face. Ils peuvent, sans mentir, prétendre qu’ils savent très exactement où ils se trouvent..
Cela dit, sans l’assistance d’un(e) copilote, trop occupé par la vacation radio, le pilotage et la jouissance de la vue, en fait de photos des paysages survolés : NADA !
A l’arrivée, j’ai fait mon petit effet avec mes bagages spécialement adaptés aux coffres de mon jouet volant. Il n’est pas donné à tout le monde de disposer de bagages sur mesure, réalisés par un facteur mondialement connu, le célèbre Louis Kea.Cerise sur le gâteau, le club de Montaigu m’a ouvert son hangar pour que mon jouet puisse passer la nuit en toute sécurité. Un accueil princier.
Demain samedi 30 juin, la journée sera consacrée à des balades aériennes, le soir à la fiesta des Cousinades.
En attendant que Françoise puisse me rejoindre, quelques photos de la ville de Clisson.Vue sur la Sèvre Nantaise et l’ancien moulin converti en hôtel ****.
Le château d’Olivier, Connétable de France.
Et l’escalier pour y accéder (au château).
Une fois la balade terminée, Françoise m’a rejoint pour un pèlerinage aérien autour de la région des origines de Charles Pageot, père de Françoise, grand-père de mes filles.Un vol de quatre vingt dix minutes. Une première pour Françoise.
C’est parti !
Le passage du Gois, une route qui ne se découvre qu’à marée basse. Elle a été doublée depuis le milieu des années 70 par un pont.
La Mecque familiale, les Moutiers en Retz, conurbation mondialement célèbre dans la région, en particulier pour son église et sa Lanterne des Morts.
La Bernerie et sa piscine en eau de mer qui se forme à marée basse.
La pointe nord de l’île de Noirmoutiers et le port de l’Herbaudière.
Enfin, juste avant de rejoindre Montaigu, le point de départ, la pointe sud de l’île et le pont qui la relie en permanence au continent.
Les Cousinades n’étant pas très aéronautiques, elles feront l’objet d’une page séparée sur un site idoine.
Une météo menaçante, des orages sur l’ouest, aura précipité mon retour par une route directe. Comme pour le vol aller, pas vraiment la gouache pour prendre des photos, trop occupé à voler en toute sécurité.
Certains s’offrent des danseuses, d’autres des actrices de films d’adultes, les plus chanceux disposent d’une plateforme rien que pour eux. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils rêvent de la partager, la plateforme, pas la danceuse.
En ce jour béni des Dieux, Eole et Hermès en particulier, sur la piste de Paul Rabadan, se sont retrouvés deux CTLS.
Aux manettes, derrière l’objectif, Ago aura été privé d’un moment de célébrité.
Ce n’est que partie remise.Une belle piste de 400 mètres, pas forcément simple à trouver la première fois.
Pour moi, le prochain vol sera significativement plus simple, le terrain est désormais référencé dans mon GPS.
Paul nous a promis d’organiser des BBQ parties.
A suivre.
Par une météo particulièrement venteuse, le graphique ci-dessous le prouve, je suis allé à Candillargues pour le renouvellement de LSA lié au passage en 8,33.
Météo peu clémente, zone turbulente entre SFC et Niveau 40, vent de NNW fort avec de belles rafales, en particulier sur le retour.
Décollage vers 8:30, retour à 12:00
Voyage en lessiveuse, surtout les dernières 10 minutes. Rassurez-vous, le poser à Valréas s’est fait sans soucis particuliers si ce n’est une crampe au postérieur pour cause de serrage de fesses hors tolérances.
Mais que vient faire la propreté des avions dans ce qui précède ?
L’avion est rentré immaculé, seule l’hélice souillée par la verdure aura vu l’éponge.
Les insectes volants savent lire les TAF et METAR fournis par la BA 115,
ils préfèrent regretter d’être au sol que de regretter d’être en l’air.
Si nettoyer l’avion en fin de vol vous gonfle la solution est simple :
ne volez que par jour de grand vent, les insectes restent au sol, eux.
Un Quizz facile pour les locaux.
Mais pour les autres, c’est significativement moins simple.Photo 1
Photo 2
Photo 3
Photo 4
Photo 5
Et pour conclure les Dentelles de Montmirail en fin d’après-midi, un peu à contre-jour.
Et pour ceux que cela tente, répondre n’engage à rien.
Les membres du club, s’ils participent,
n’entreront pas dans un éventuel palmarès,
ce serait trop facile.
Jacques est de passage à Fort Lauderdale, les avions seraient-ils son objectif principal.Et bien non, une fois de plus les sirènes aéronautiques ont été assommées par celles de l’automobile. Il faut dire que Packard sait faire valoir de superbes atouts.
En pleine admiration face à un châssis dénudé. Il y aurait-il quelques similarités entre l’automobile est la gent féminine ?
En fait non, Jacques se prépare à évaluer le plaisir que des jeunes pourraient prendre à conduire de tels véhicules.
Bienvenue en Floride, ami Jacques. YAPA que les avions dans la vie.
J’ai beau être en Floride, mon réseau m’informe.
Félicitations au Club.
Le guide Michelin reste une référence en ce qui concerne le tourisme accessible par la route. Il manque un manuel de référence, indépendant et objectif, libre de tout conflit d’intérêt en ce qui concerne la gastronomie accessible par la voie des airs.
Ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas ici de pérorer sur les tentatives d’empoisonnement que le catering des compagnies aériennes réalise quotidiennement, non la tâche est ridiculement trop dangereuse. Il s’agit de faire connaître les restaurants d’aérodrome, pas ceux des aéroports qui relèvent du catering, donc faire connaître des estaminets, gargotes, restaurants tenus par des amoureux du travail bien fait. Comme le disait Coluche, « J’ai des noms », je ne manquerai pas de les rappeler.
C’est ici que vous sera narré la première mission de l’équipe mandatée par l’ACHC.
Le sérieux de cette mission est protégée par un total incognito, cela va de soi.
Dans un discret véhicule de fonction, véhicule se fondant dans la masse, nos deux inspecteurs rejoignent sous des averses de ciel bleu l’aérodrome de départ, LFNV, plus connu sous le nom de Valréas-Visan.
Le copilote, Lucien, prépare la partie gastronomique de la mission pendant que les aspects ancillaires et techniques, tels que visite pré-vol, sont traités par le responsable de la mission.
Après un vol naturellement sans anicroches, le responsable de la plateforme d’Aubenas immortalise le début de cette mission qui revêt, cela va de soi, le caractère le plus hautement confidentiel.
Une fois installés à table, la commande est passée, un menu enfant pour la classe junior, une araignée de veau sauce moutarde pour la classe senior. Un Château la Pompe et un demi pression arroseront les agapes.
Sans commentaires. Seules quelques miettes sont retournées en cuisine.
Je ne sais comment la nouvelle de notre passage a été éventée, un essaim d’avion nous avait suivi et se ruait sur les dernières places disponibles. De coupables fuites je présume. Une enquête doit s’ouvrir dans les plus brefs délais.
Il nous reste à rentrer dans notre base arrière et faire connaître au monde entier les résultats de notre mission.Le vol terminé, notre mission s’achève, il reste à nettoyer l’avion et rédiger le compte-rendu.
Une fois de plus le Pélican est à la hauteur de sa réputation : une qualité irréprochable, un cadre somptueux, un accueil souriant, une addition plus que raisonnable.
Une adresse à ne rater sous aucun prétexte.